Le Parlement italien a ratifié mi-octobre le protocole Transports de la Convention alpine. Les partisans de la liaison ferroviaire à grande vitesse y voient une victoire. Rome a inscrit dans sa loi de finances triennale une somme de 790 millions d’euros pour le Lyon-Turin.
Jean-Jack Queyranne, le président de la région Rhône-Alpes,déclare dans un article de nos confrères de LibéLyon: « c’est un signe fort donné par le Parlement italien, à quelques semaines du sommet franco-italien qui se déroulera à Lyon le 3 décembre, et qui, nous le souhaitons tous, pourrait voir le projet franchir une nouvelle étape décisive ».
Plus d’un million de poids lourds transitent chaque année par les tunnels routiers du Mont-Blanc et du Fréjus. La réalisation du Lyon-Turin fait partie du contrat de mandature conclut en 2010 entre les élus écologistes et le président socialiste de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne.
Un tunnel et une ligne à grande vitesse qui ne font pas l’unanimité de part et d’autre de la frontière.
Plus d’un million de poids lourds transitent chaque année par les tunnels routiers du Mont-Blanc et du Fréjus. La réalisation du Lyon-Turin fait partie du contrat de mandature conclut en 2010 entre les élus écologistes et le président socialiste de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne.
Un tunnel et une ligne à grande vitesse qui ne font pas l’unanimité de part et d’autre de la frontière.
Leur Presse (France 3 Rhône-Alpes, 2/11/2012)