La motrice du TGV a été fortement endommagée par la collision.
Fortement mobilisés, les sapeurs-pompiers de la caserne Paul-Marchandeau de Reims et la gendarmerie ont investi les lieux, mais à l’heure où nous écrivions ces lignes, les secours n’étaient pas encore en mesure d’expliquer s’il s’agissait d’un accident ou si l’individu, homme ou femme, avait voulu mettre fin à ses jours. D’après une source proche de l’enquête, le chauffeur aurait aussitôt déclenché l’arrêt d’urgence du train, qui aurait parcouru de nombreux mètres avant de pouvoir s’arrêter. La personne circulait à pied sur le long du chemin de fer pour une raison encore indéterminée. Le trafic de la SNCF a dû être quelque peu perturbé puisqu’à minuit le TGV était encore immobilisé sur les lieux de l’accident.
Leur Presse (L’Union , 21/8/2012)